Les responsabilitĂ©s provoque chez certaines personnes un sentiment de domination et le fait de vous ne jurez plus que par lui/elle. Ne vous dites surtout pas que c’est trop tard car les personnes qui vous aiment rĂ©ellement sauront vous accueillir Ă  bras ouvert et comprendre votre souffrance. S’il y a bien une chose qui va dĂ©stabiliser un pervers narcissique ou dĂ©stabiliser un PubliĂ© le 19-09-2003 102349 et mis Ă  jour le 19-09-2003 103000 En fait le slogan d’une cĂ©lĂšbre marque pĂ©troliĂšre aurait pu ĂȘtre repris par Verisign car celui-ci vient de mettre ni plus ni moins la main sur les noms de domaine qui n’existe pas. Quand vous tapez une adresse dans votre navigateur pour accĂ©der Ă  une page celui-ci recherche l’ip de la page en question et se connecte Ă  cette page Si par malchance cette adresse n’existe pas vous avez Ă  la place soit une erreur 404 ou pour ceux qui ont paramĂ©trĂ© IE la page de msn qui vous propose des alternatives Ă  cette adresse... Aujourd’hui, et je vous invite Ă  faire le test en tapant par exemple donc adresse erronĂ©e et vous verrez que votre navigateur ne vous met non pas une erreur 404 mais est redirigĂ© aussitĂŽt vers la page de Verisign. Cette sociĂ©tĂ© qui gĂšre les .COM et les .NET comme pour le nom de domaine du site c’est ainsi appropriĂ©, pour ne pas dire dĂ©robĂ©, les redirections des pages d’erreurs. Verisign ne cache pas les intentions qui ont motivĂ© ces dĂ©tournements», c'est-Ă -dire gĂ©nĂ©rer des revenus en envoyant des visiteurs vers ses clients. Pour de nombreux observateurs et analystes, Verisign profite de sa position pour s'enrichir aux dĂ©pends des internautes. Mais le pire c’est que mĂȘme les adresses mail en .COM ou .NET inconnues ne seront plus reconnues comme telles et donc ne seront plus retournĂ©es Ă  l’expĂ©diteur pour adresse invalide car tout les noms de domaines inexistants hier sont existants aujourd’hui et ainsi par voie de consĂ©quence les adresses mails de ces dits sites fantĂŽme. Bref Ă  trop vouloir en faire Verisign risque de se mettre la communautĂ© a dos et les effets se font dĂ©jĂ  ressentir avec un net ralentissement vers l’accĂšs de cette fameuse page quand celle-ci ne dĂ©cide pas tout simplement de ne pas s’afficher. Verisign a confirmĂ© son intention de ne pas modifier ces redirections automatiques mais des programmeurs seraient dĂ©jĂ  Ă  concevoir des correctifs logiciels dont le but est d'empĂȘcher ces dĂ©tournements». Donc bientot un patch! Voir les commentaires Vous avez aimĂ© cet article ? Partagez-le ! Les autres articles en relation dans l'actualitĂ© ! Les derniers articles qui pourraient vous intĂ©resser... ou pas !
Cetarticle intitulĂ© “votre mĂ©decin doit venir chez vous ” est particuliĂšrement intĂ©ressant et tellement vrai . Une chambre ,une maison ,un appartement ,sont des rĂ©vĂ©lateurs Ă  qui sait l analyser !Votre intĂ©rieur, votre alimentation ,vos amis , sont le reflet de votre Ăąme.
La route filait, lisse, nette, quatre mĂštres trente de large exactement, les bords coupĂ©s comme au ciseau, ruban de ciment gris dĂ©roulĂ© Ă  travers la vallĂ©e par une main gĂ©ante. Le sol ondulait en longues vagues une lente montĂ©e, puis un plongeon soudain. [
] Sur les cĂŽtĂ©s dĂ©ferlait en sifflant l’ñpre vent du matin, orage de mouvements qui vibrait et grondait en des harmoniques aux incessantes variations. »La route », celle de Kerouac, Norman Mailer, Cormac McCarthy, Thelma et Louise »  Voici PĂ©trole ! », chef d’Ɠuvre de 1927 adaptĂ© au cinĂ©ma en 2008 There Will Be Blood », ou les aventures du magnat de l’or noir J. Arnold Ross et de son fils Bunny, aux premiĂšres lueurs du vingtiĂšme siĂšcle, dans la foulĂ©e des pionniers. PĂ©trole, affaires, finance questions gĂ©opolitiques d’une brĂ»lante actualitĂ© pour un roman mĂ©connu qui, malgrĂ© ses 86 ans au compteur, a conservĂ© toute sa mordante et palpitante, PĂ©trole ! » parle puritanisme, religion, toute-puissance, justice, guerre, cinĂ©ma GrĂące au cinĂ©ma, le monde s’unifie, c’est-Ă -dire qu’il s’amĂ©ricanise », politique Tous les pĂ©troliers achetaient le gouvernement, tous les gros hommes d’affaires le faisaient, aussi bien avant qu’aprĂšs les Ă©lections », syndicalisme, privilĂšges des Ă©lites, Ă©ducation, mensonge, traitement de l’information ils ne laissent jamais passer une information qui puisse ĂȘtre une attaque ou une injure contre n’importe quel intĂ©rĂȘt d’affaires », amitiĂ©, amour, police routiĂšre Eh oui, ce doit ĂȘtre une chose terrible que d’ĂȘtre agent de la vitesse » et d’avoir pour ennemi tout le genre humain ! », juifs C’était dĂ©jĂ  bien assez dur pour une juive et, qui plus est, une juive de la classe ouvriĂšre, de se faire une situation dans les carriĂšres libĂ©rales, sans y ajouter encore le handicap du socialisme. », rĂ©voltes populaires Comment un soulĂšvement des masses avait-il une chance de rĂ©ussir dans une AmĂ©rique oĂč les employeurs Ă©taient en possession de toutes les armes et de tous les moyens de communication ? » Politically incorrect et jubilatoire, voilĂ  bien le grand roman » d’une AmĂ©rique qu’on adore dĂ©tester et qu’ American Beauty », le dĂ©glinguĂ© mais jouissif God Bless America », le cultissime Fight Club » ou le rĂ©cent Lone Ranger » ont gĂ©nialement filmĂ©e. Oui, quand vous passiez par lĂ , assis dans une confortable voiture, vous pouviez vous imaginer au pays des fĂ©es. Il vous fallait vous souvenir qu’une armĂ©e d’hommes y travaillait, peinant dur, par relĂšves de douze heures par jour, au risque d’y laisser leur vie ou un membre. [
] Alors, votre pays de féérie se transformait en un abattoir oĂč le plus grand nombre Ă©tait hachĂ© en chair Ă  saucisse pour le dĂ©jeuner de quelques-uns. »Fiction et rĂ©alitĂ© y Ă©voluent de concert grĂšve des ouvriers ; coup de semonce de la Grande Guerre ; convictions politiques Ă©branlĂ©es par les atrocitĂ©s guerriĂšres
 Et le jeune Bunny, qui grandit et dĂ©couvre la vie, l’amour, se frotte aux vissicitudes de l’existence, s’éloigne d’un tout-puissant paternel
 Etait-il possible qu’on laissĂąt des hommes continuer de conduire les affaires comme Papa l’avait fait ? Une civilisation oĂč l’on pouvait acheter un gouvernement pouvait-elle subsister ? Non, rĂ©pondait Bunny. Alors, il aurait dĂ» essayer avec plus d’insistance, plus d’affection aussi, de persuader son pĂšre de s’arrĂȘter ! Mais Ă  quel moment ? » 
 pĂšre vieillissant et Ă  mille lieues d’une guerre dont il saisit peu de choses, si ce n’est qu’elle lui est trĂšs profitable
 C’était trĂšs joli de faire des discours, mais, aprĂšs tout, ce qui contribuait Ă  gagner la guerre, c’étaient les balles et les obus, et pour les apporter sur les champs de bataille, il Ă©tait nĂ©cessaire de les transporter. [
] La seule chose qui le tracassait Ă©tait de ne pouvoir signer trois fois plus de contrats et forer trois fois plus de puits. »  copieuse boucherie ne trouvant plus commode que de s’incruster au beau milieu d’un conflit entre ouvriers et exploitants
 Pour les exploitants pĂ©troliers, il semblait des plus antipatriotique de la part des ouvriers de demander pendant cette crise la journĂ©e de huit heures et une augmentation de salaire. Comment ? alors que le pays se prĂ©parait Ă  se dĂ©fendre et allait avoir plus que jamais besoin de pĂ©trole ! [
] »PĂ©trole = affaires = argent parfaite Ă©quation de la rĂ©ussite sauce Yankee, vĂ©ritable Wall Street pour les Nuls » et principe quasi biblique des banksters » pour continuer Ă  jouer avec les deniers d’autrui
 [
] c’était le rĂ©sultat du systĂšme de la Federal Reserve, une invention des grosses banques de Wall Street, un soi-disant office gouvernemental, mais qui, en rĂ©alitĂ©, Ă©tait tout simplement un comitĂ© de banquiers ayant le pouvoir d’émettre en temps de crise du papier-monnaie en quantitĂ© illimitĂ©e. Cet argent Ă©tait versĂ© aux grosses banques qui, Ă  leur tour, le prĂȘtaient aux grosses industries dont elles dĂ©pendaient et dont elles devaient dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts. Aussi, chaque fois qu’une panique se produisait, les gros Ă©taient couverts et les petits faisaient la culbute. »Corrosif, hilarant, superbement Ă©crit pour embrasser vingt annĂ©es d’Histoire sans jamais noyer le lecteur, le prenant parfois mĂȘme Ă  tĂ©moin vous voyez », vous comprenez », on ne peut que se poser la question du pourquoi du comment de l’absence d’une telle tuerie » littĂ©raire du moindre programme Ă©ducatif digne de ce lĂ , l’argument du manque de moyens tient difficilement la route »  Dansun de ses textes philosophiques, Leibniz parlait de la libertĂ© de l’indiffĂ©rence et du hasard. Il pense que le fait de ne jamais choisir quand on est indiffĂ©rent n’est que pur hasard. Mais ce hasard serait un simple rĂȘve qui ne se trouve pas dans la nature. Il est aussi d’accord pour dire que le hasard ne serait qu’une chose allez hop une nouvelle petite tech'anecdote, ou plutot je vais vous raconter une des mes journĂ©es de cette semaine Presta PDB pour les connaisseurs c'est un petit plus, pour les autres cela ne changer rien Ă  l'histoire J'ai rendez vous Ă  7h dans une usine que je connais dĂ©jĂ  . A cette heure pas de petit dĂ©j Ă  l'hotel , je me dis pas grave, la boite Ă©tant Ă  5minutes j'aurai peut etre le temps de repasser le prendre. J'arrive donc Ă  l'heure, je fais comme chez moi, j'entre, je monte au bureau du gars sensĂ© m'accueillir .... Bon ça commence bien le bureau est vide.... Je redescend, beaucoup me reconnaissent et me salue. Un chef d'Ă©quipe s'approche et me dis - Vous chercher ? -Oui , nous avions rendez vous Ă  7h -Oups Ă  mon avis il est pas arrivĂ©, il vient Ă  8h d'habitude.... -OK mais peut etre vous a t-il laisser des consignes sur les fonctions Ă  Ă©quiper? -Non rien du tout , je vais me renseigner Il est 7h15... il revient et me fais bon Ă pparement il faut dĂ©jĂ  Ă©quiper les deux au fond .......... M F arrive tranquille Ă  7h45 ... -Excusez moi, j'avais oubliĂ© le rdz vous.... -grrrrrrrr intĂ©rieurement Au final je peux Ă©quipez mes gars....la matinĂ©e se passe 11H30 dans un bureau oĂč j'ai pu prendre place, me dis je vous laisse je dois aller Ă  la remise des mĂ©dailles du travail. 12h je dĂ©cide de retourner Ă  l'atelier pour faire un tour avant d'aller manger et oh surprise tout le monde est rĂ©uni en bas des escaliers en train d'assister Ă  la fameuse remise des mĂ©dailles... Et merde me voilĂ  obligĂ© d'y assister... 13h ça se termine enfin... je me dis enfin je vais pouvoir aller manger! ça commence Ă  faire faim -vous allez bien boir un petit coup avec nous? Entre champ' et jus d'orange, ma raison me dis jus d'orange 13h30 enfin libĂ©rĂ©e je file trouver un coin pour manger lol rien d'ouvert Ă  cette heure evidement les services sont finis... j'opte pour un sandwich dans une station Total Il reste plus grand chose et la vieille Ă  la caisse est guĂšre aimable. AprĂšs avoir rĂ©glĂ© l'essence avec la carte GR, je pose mes achats sur le comptoir et sors ma carte bleue. -Vous n'avez pas de monnaie? je farfouille mais non pas assez -Vous prenez les chĂšques? -Non d'un ton trĂšs antipathique S'en est trop pour moi -Bon ok hĂ© bien je vais aller voir ailleurs. AU REVOIR Et paf je suis sortie lĂ©gĂšrement Ă©nervĂ©e laissant tout en plan sur son comptoir, insultant la vieille et faisant vrombir le moteur mais chut faut pas dire ... Je comprends qu'elle ne prenne pas les chĂšques ou carte bleue mais bon il y a la maniĂšre de le dire et puis elle aurait pu me conseiller il y a un distributeur Ă  300m mais non que dalle donc grrrrrrrr pour cette vieille nazouille Total vous ne viendrez plus chez nous par hasard!!!! Le reste de la journĂ©e s'est heureusement bien passĂ©. Ha les joies du boulot! on en rigole aprĂšs car faut relativiser^^

Cest encore plus drÎle quand vous lancez une recherche google avec : panne moteur grand scénic 2004. Je vous laisse essayer vous allez perdre quelques minutes mais

Vous ne le savez peut-ĂȘtre pas mais en avril 2012 quatre chauffeurs de CaldĂ©o ont fait l’objet du zĂšle du nouveau Directeur. Ils se sont vus accusĂ©s Ă  tort de vol et licenciĂ©s sans preuves. Jusqu’à ce jour, la CFDT avait choisi de ne pas communiquer sur le sujet afin de laisser la place Ă  un rĂšglement amiable de la situation. Face Ă  l’entĂȘtement de TOTAL et CALDEO Ă  rester sur des positions de principes, la CFDT fait le choix maintenant de rĂ©vĂ©ler les dessous de cette affaire. Pour la CFDT, nos collĂšgues n’ont commis qu’une seule faute. Celle d’ĂȘtre Ă  la croisĂ©e de 4 chemins La rĂ©organisation des filiales de la distribution et son cortĂšge d’excĂ©dant d’emplois. La volontĂ© d’un Directeur de montrer toute sa capacitĂ© Ă  agir au lendemain d’un drame. La queue de comĂšte d’une instruction judiciaire qui avait rendu l’entreprise parano. Une stratĂ©gie d’attaque de TOTAL visant Ă  faire oublier le systĂšme des boni ». La Cfdt demande La juste indemnisation de nos 4 collĂšges Des excuses publiques de CaldĂ©o pour laver leur honneur. L’information des salariĂ©s sur leur avenir. La mise en place d’une expertise des comptes en CE. L’instauration d’un dialogue social respectueux. Tract CFDT CaldĂ©o Mai 2014 Newsjeu Star Wars Droid Repair Bay, vous ne viendrez plus chez nous par hasard PubliĂ© le 15/12/2017 Ă  16:32. Partager : Contributeur. _Snas_ - Utilisateur jeuxvideo.com. À
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